Un Cabaret postmoderne, immersif et expérientiel, un flux temporel qui vous fera voyager comme dans un circuit électrique :
du cabaret des années 20 jusqu’au cabarets engagés et expérimentales, – queer, féministes et machiniques d’aujourd’hui.
• LES NUITS PROHIBÉES Episode 8 : Les Machines Désirantes •
Un hommage au philosophe Gilles Deleuze à 100 ans de sa naissance, un espace d’expérimentation et d’engagement créatif, et au-delà, une usine de l’inconscient, un tissu de branchement instable, qui se reconfigure sans arrêt pour la libération des corps et des esprits.
Entre répétition et différence, entre vision et variation, la musique “nous met une oreille dans le ventre” entre chanson française et noise.
Latex et jazz. Plumes et fibres électriques. La foudre et le sensible.
Un cabaret à l’écoute de la vie.
• Dress code •
L'Élégance Dénudée • Années Folles • Retro Futurisme
L'organisation se réserve le droit d'entrée
• Programmation •
La production désirante s’installe dans cette dernière Nuit Prohibée de la saison de manière multiple, présentée par notre Madame Loyale Myriam Nana, en retraçant l’histoire passée, présente et future du Cabaret :
Du Jazz manouche de Roxana and the Pigalle Serenaders, aux Claquettes de Jelly Germain Ngono.
La chanson française s’empare de la scène avec Myriam Nana et ses improvisations musicales.
LE P’TIT (ou tout mineur) CABARET DU DÉSIR MACHINIQUE
ouvre la soirée avec un spectacle court-circuité, nomade, intensif,
en métamorphose reliant chant, théâtre, musique et performances avec Rodolfo Fortini, Francesco Monteforte, Jony Solo et Myriam Nana, Eli Le Sultan et Yazz, Candy et Jelly Germain Ngono.
Yazz et Eli Le Sultan nous transportent dans l’époque de Metropolis et de ce film-utopie.
Zhayiia et Nico mettent en scène le machinique du corps jusqu’à ces limites plus extrême en contorsionnant l’espace-temps de la grande salle rouge.
Jusqu’aux performances, érotiques, futuristes et engagées de Candy,
fondatrice du Candycabaret, cabaret afro-queer politique qui brise les codes et les barrières avec le public.
Les installations immersives et interactives de Luci Baudi vous feront vibrer
de manière électrique. Nene Giorgadze aka Spectra, infusera les pièces de projections et de VJing expérimentaux où le visible se dérobe.
Ainsi que Jony Solo et Karolieva pousseront les limites de la machine désirante au sous-sol dans la cave magique, avec une performance surprise entre BDSM et noise, alliant le désir machinique du son et du corps.
David Awada vous guidera dans les méandres d’un dessin abstrait et interactif entre individuel et sensible.
Le Poète du Pont des Arts sort sa machine à écrire, comme un feu d’artifice sur mesure, un flux de lettres à désirer.
Enfin Polysons guidera la troupe de jammeurs entre jazz et rythmes
électroniques, avec un dj set final jusqu’au bout de la nuit.
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